Deux mondes difficiles à relier par une passerelle. C’est pourtant le pari qu’a fait Charléne Clavel, vainqueur chez les féminines du Marathon des Burons. Joueuse au sein de l’équipe de de hand de Nîmes qui évolue en division 1, Charlène originaire de Mende, aime la pleine nature où elle peux se ressourcer. Et si cet effort est très éloigné, pour ne pas dire plus des intensités auxquelles une ailière droite doit se soumettre pendant un match, elle aime cette course dans la solitude de l’Aubrac. Pas vraiment un entraînement pour son sport de prédilection mais un bain de jouvance qui donne le peps pour la prochaine saison.
dimanche 23 juin 2013
Marathon des Burons : Le bain de jouvence de Charlène Clavel
Entre
le handball de haut niveau et le trail, il n’y a pas beaucoup de points
communs. Hormis que les deux disciplines émargent à la catégorie sport. Après
c’est le grand écart. Salle confinée pour l’un, grands espaces pour l’autre.
Public bruyant pour le premier, silence des grands espaces et compagnonnage
discret pour l’autre.
Deux mondes difficiles à relier par une passerelle. C’est pourtant le pari qu’a fait Charléne Clavel, vainqueur chez les féminines du Marathon des Burons. Joueuse au sein de l’équipe de de hand de Nîmes qui évolue en division 1, Charlène originaire de Mende, aime la pleine nature où elle peux se ressourcer. Et si cet effort est très éloigné, pour ne pas dire plus des intensités auxquelles une ailière droite doit se soumettre pendant un match, elle aime cette course dans la solitude de l’Aubrac. Pas vraiment un entraînement pour son sport de prédilection mais un bain de jouvance qui donne le peps pour la prochaine saison.
Deux mondes difficiles à relier par une passerelle. C’est pourtant le pari qu’a fait Charléne Clavel, vainqueur chez les féminines du Marathon des Burons. Joueuse au sein de l’équipe de de hand de Nîmes qui évolue en division 1, Charlène originaire de Mende, aime la pleine nature où elle peux se ressourcer. Et si cet effort est très éloigné, pour ne pas dire plus des intensités auxquelles une ailière droite doit se soumettre pendant un match, elle aime cette course dans la solitude de l’Aubrac. Pas vraiment un entraînement pour son sport de prédilection mais un bain de jouvance qui donne le peps pour la prochaine saison.